Lieu et date |
Personnages |
Dressing d'Elisabeth, Bad Ischl 24 août 1865 |
Comtesse Esterházy-Liechtenstein, domestiques |
A) Scène 14a: la beauté, suite...
Acte I – Scène 13 |
DES DOMESTIQUES (PREMIER GROUPE) |
LA COMTESSE ESTERHÁZY-LIECHTENSTEIN |
LA COMTESSE ESTERHÁZY-LIECHTENSTEIN |
LA COMTESSE ESTERHÁZY-LIECHTENSTEIN |
LA COMTESSE ESTERHÁZY-LIECHTENSTEIN |
LA COMTESSE ESTERHÁZY-LIECHTENSTEIN & DOMESTIQUES |
B) Scène 14b: 24 août 1865 - « Ich gehör nur mir » officiel
FRANÇOIS-JOSEPH |
Nous avions abandonné Élisabeth quand elle venait de donner à son mari l’«ultimatum d’Ischl». François-Josephcomprend que l’exaspération de sa femme n’est pas une scène de ménage.
Ce coup de tonnerre domestique est immédiatement suivi d’une autre révolution à la Cour: l’empereur donne raison à l’impératrice!
Il cède, l’assurant de son indépendance de mère, de femme et de maîtresse de maison. À 27 ans, Élisabeth a usé de tous ses arguments, y compris sa beauté, dont elle connaît le pouvoir sur son mari.
Gondrecourt est immédiatement remplacé par le comte Joseph Latour de Thurnberg, qui se révélera un excellent éducateur, et le docteur Hermann von Widerhofer se chargera de suivre la santé du prince et de sa sœur Gisèle. À ces deux hommes, elle demandera des rapports fréquents, posera des questions, exigera des réponses, alors qu’auparavant elle était laissée dans l’ignorance et même écartée de la réalité.
Elle est coupable de négligence et entend réparer ses torts de mère distante, autant que faire se peut. Comme on pouvait s’y attendre, l’archiduchesse Sophie subit l’oukase de sa belle-fille, validé par son fils. La mère de l’empereur ne dit rien, n’en pense pas moins, mais elle a perdu un combat essentiel, celui de son influence.