Drôle, sensible, touchant, émouvant

Italie - Brésil 3 à 2 est un récit haletant qui alterne humour décalé et nostalgie.
5 juillet 1982. L’Italie est en quart de finale de la Coupe du monde… Un événement qui la conduira à devenir championne du monde !
Ce n’est pas tant l’affrontement fébrile et incertain de deux légendes nationales du foot, du premier but de Paolo Rossi à l’ultime arrêt de Zoff : le vrai protagoniste, c’est ce groupe de parents et d’amis suspendus au nouveau poste de télévision couleur acheté pour l’occasion, vivant 90 minutes de suspens entre rites, superstitions, exaltations, dépressions, imprécations et dévotion.


Minute par minute, Fabrice Piazza et Emmanuel Baily à la guitare donnent corps au savoureux texte de Davide Enia et vous font revivre ce moment « historique » qui emportera les fans de foot mais pas que! Un récit haut en couleur, dans la pure tradition d’un théâtre de narration. Une chronique d’un match de football épique à travers le prisme d’une famille sicilienne.

Écrit par l’acteur palermitain Davide Enia, Italie-Brésil 3 à 2 est un compte-rendu “épi-comique” et très personnel. Le récit d’un exploit héroïque, d’un match de football légendaire, joué par l’équipe nationale italienne lors de la Coupe du monde 1982.

Cette épopée se mêle aux histoires étonnantes d’une famille de Palerme, d’une famille italienne normale rivée à la télévision, unie par un maillot bleu contre les Martiens du Brésil, contre le destin. Au travers une chronique familiale sicilienne où le fanatisme, la ferveur mais surtout la mauvaise foi et les superstitions italiennes sont présentes, au travers des souvenirs de l’auteur qui avait 8 ans en 1982, c’est une écriture savoureuse, un récit haut en couleurs, drôle et poignant qui est raconté, et qui donne la mesure de l’importance que peut avoir le football sur ceux qui en sont fous, mais aussi sur ceux qui sont emportés tous les quatre ans par la liesse de tout un pays.


CREATEURS
AuteurDavide Enia 
TraductionOlivier Favier 
AdaptationFabrice Piazza 
AdaptationBaptiste Isaia 
Mise en scèneBaptiste Isaia 
ScénographePascale Fichers 
CostumièrePascale Fichers 
LumièreJulien Legros 
AVEC
JeuFabrice Piazza 
GuitareEmmanuel Baily 
Une production de la Cie Odissea
Avec l'aide du Centre Culturel de Chênée, du CPCR, du Théâtre de Liège, du Ventre de la Baleine et des Chiroux
Avec le soutien de la Province de Liège et de la Fédération Wallonie-Bruxelles

 Italie-Brésil 3 à 2 brasse de l’émotion pure. (Télérama)

 L’une des plus enthousiasmantes aventures théâtrales de l’année, pleine de suspens et d’intensité. (Le Petit Bulletin)

 Extraordinaire récit d’un moment de famille atypique. (Ouest France)

Toute la presse :


Rien encore sur ce spectacle




Pas encore de galerie de photo sur ce spectacle


Un récit pique d’un match de football légendaire, l'histoire d'un fait remarquable et héroique qui mérite d'étre transmis oralement.
En 1982, I'ltalie remporte la Coupe du Monde de football par une nette victoire sur |'Allemagne. Mais le match «historique » que Davide Enia choisit de raconter est le dernier des poules qualificatives. L'équipe italienne, grace aux trois buts marqués par un joueur décrié par la presse et par les tifosi de l'époque, Paolo Rossi, élimine la super équipe favorite du Brésil qui jouit d'une réputation d'invincibilité.
Le narrateur replonge dans les souvenirs d'enfance de I’auteur qui assiste a la transmission télévisée de la rencontre sur la premiére télévision couleur achetée pour l'occasion.
A travers les rituels, les commentaires, les réactions de la famille palermitaine qui l'entoure, nous est donnée une coupe vive de I'imaginaire populaire ou le fanatisme, la ferveur mais surtout la mauvaise foi et les superstitions italiennes sont présentes.
Une étrange transe se dégage a la fois de la liesse des téléspectateurs a chaque but marqué, et de la description du jeu brésilien décrit comme une danse sensuelle, quand celui des Italiens qui adopte la technique du catenaccio' est le reflet d'une identité nationale complexe.
Apparait alors un sentiment national fait d’orgueil timide, d'une fatalité de la défaite, - un journal a titré quelques jours auparavant « L'Italie contre Mars» - et d'un certain opportunisme de bon aloi - ainsi des jugements sur le dit Paolo Rossi, maudit pour une erreur en début de match, et porté aux nues ensuite pour les trois buts marqués qui font de lui un personnage mythique, un anti- héros magnifique, digne des meilleurs récits.

 

Jaime lidée que le theatre soit un lieu de rencontre, de féte et de joie, un rendez- vous avec l'autre, dans un échange. Aprés presque deux ans de Covid et la dépression que nous traversons il faudra regagner les publics en leur donnant du plaisir.
Avec ce projet de triptyque nous cherchons a aller au plus prés des spectateurs, aller a la rencontre des publics peu ou pas habitués a aller au théatre, mais aussi a rapprocher les publics. Comment emmener dans les salles aux cétés des abonnés, des fidéles spectateurs, des personnes qui pousseraient pour la premiére fois la salle d'un théatre ou d'un Centre Culturel ?
En allantau plus proche des publics, nous visons a un théatre populaire, un théatre a l'usage et a hauteur des gens, qui parle au plus grand nombre, avec des sujets populaires. Et quoi de plus populaire que de parler de football, de la condition rurale, de la terre, de la révolte ?
Fabrice Piazza Directeur artistique de la Compagnie

Suite