Le nouveau spectacle de Bruno Coppens
Un feu d'artifices de mots

Bruno recréera tous ces personnages issus de ses différents spectacles et vous en proposera de tout nouveaux, tout show, en chambouleversant les mots, les mettant sens dessus dessous, sons déçus des sens!


Déchainé Bruno Coppens!
Extraordinaire!
Unique!
Bruno recrée tous ces personnages issus de ses différents spectacles et bien sûr il crée aussi de nouveaux personnages, plus fous encore, tout show, en chambouleversant les mots, les mettant sens dessus dessous , sons déçus des sens !
Bruno est tout simplement génial.

Roger Simons - Les Feux de la Rampe - 11 février 2016

De l’orfèvrerie! Digne héritier de Raymond Devos. Une telle joie de vivre, on en redemande

Pariscope

Mais entre le Destin tout court et le Destin animé, Bruno Coppens choisit l’anima, la vie, la voix des mots, la fièvre du jeu, la récréation. T’es pas tout seul, Jef ! Nous aussi on rêve d’escrime! Bruno est visiblement « heureux-qui-communique » lorsqu’il délire, le mot au bout de la langue, jouant avec son public ébaudi, comme s’il était à un dîner en ville! Le bûcher des inepties du monde, allumé par ses jongleries verbales, brûle alors à grand feu de joie. On se réchauffe, on revit, on reverdit même à vue d’œil. Le printemps de la langue fait grimper la sève du rire au bon pays de la Brunotie. La jouissance verbale, le festin phonétique s’installe pour deux heures de friand plaisir. Essayez donc de trouver un bon mot moins bon que l’autre! Venez goûter des crêtes de rires sur poêle à (f)rire et vous en mettre jusque derrière les oreilles! Mais on vous prévient, il sera très difficile, pour vous, comme pour lui, de s’arracher aux jeux de mots pléthoriques et à la très heureuse complicité d’un soir.

Deashelle - Arts et Lettres - 12 février 2016

D’un enfant, Bruno Coppens a la spontanéité vive, le sourire innocemment charmeur et la poésie innée. Ses jouets sont les mots. Il les lance dans tous les sens, les dérange avec ironie, les transforme effrontément pour en faire des noeuds de mots qu’il sert et ressert à volonté au public.

Thierry Denoël - Le Vif –L’Express