Pourquoi ces plis sur la peau du rhinocéros?
Comment la trompe a poussé aux éléphants?

Redécouvrez les histoires poético-humoristico-fantaisistes de Kipling! Dans ce bestiaire fantastique, la Baleine mange le nautonier, l’Enfant d’Eléphant pose trop de questions et le Rhinocéros fait preuve de beaucoup de grossièreté… Des histoires pleines d’humour qui donnent libre cours à l’imagination la plus folle. Retrouvez votre part d’enfance!

Premier auteur britannique à recevoir le Prix Nobel de littérature, Rudyard Kipling est l’auteur du célébrissime Livre de la Jungle. Il écrit Histoires comme ça pour sa fille Joséphine dans les années 1890.


Ces histoires débridées, pleines d’humour et de fantaisie donnent libre cours à l’imagination la plus folle. Elles nous emmènent dans un monde absurde, dans des «temps très anciens» fictifs, quand les animaux parlaient.
Les « Histoires comme ça » nous invitent à poser un regard poétique sur les choses ; SI les choses étaient différentes… et à partir de là, un monde sans limite s’ouvre à nous, un monde plein de liberté et de fantaisie, un peu à la manière « Alice au Pays des Merveilles » de Lewis Carroll, ou, aujourd’hui, à la Claude Ponti.
Dans ce bestiaire fantastique, la Baleine mange le Nautonier et cela lui cause de singuliers problèmes, l’Enfant d’Éléphant pose trop de questions, le gibier joue à cache-cache avec le Léopard ou encore, le Rhinocéros fait preuve de beaucoup de grossièreté envers le Parsi et s’en voit bien puni ! (on y parle aussi de l’orgueil du Petit Père Kangourou et de la stupidité du Jaguar Moucheté…).
Et c’est à la suite de ces aventures que ces animaux, qui en ces temps très anciens ne ressemblaient pas du tout à ceux que nous connaissons, prirent l’aspect qui est le leur aujourd’hui!!


CREATEURS
AuteurRudyard Kipling 
Mise en scèneMarie Paule Kumps 
AVEC
ConteurBernard Cogniaux 
Une coproduction de la Compagnie du Chaos et du Théâtre de la place des Martyrs

C’est à bien plus qu’une pièce que nous convie Bernard Cogniaux avec ses Histoires comme ça de Rudyard Kipling. C’est en voyage qu’il nous embarque, dans une jungle fantastique, une savane savamment poétique, une arche de Noé humoristique où l’on apprend pourquoi le kangourou a des longues pattes, le rhinocéros des plis sur sa cuirasse, et l’éléphant une trompe. (…)
C’est à bien plus qu’une pièce que nous convie Bernard Cogniaux avec ses Histoires comme ça de Rudyard Kipling. C’est en voyage qu’il nous embarque, dans une jungle fantastique, une savane savamment poétique, une arche de Noé humoristique où l’on apprend pourquoi le kangourou a des longues pattes, le rhinocéros des plis sur sa cuirasse, et l’éléphant une trompe.

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Le Soir - 27/9/2010 - Catherine Makereel

Bernard Cogniaux se glisse entre les mots de Kipling, se les approprie pour nous faire vivre des récits animaliers pleins d’humour.
Sourire tendre et regard pétillant, il raconte, il offre, il partage.
On n’a pas l’impression d’être au théâtre, mais plutôt confortablement installé dans la cuisine, les coudes posés sur la table, en train de regarder Papa ou Papy nous mitonner son gâteau maison tout en nous lisant une histoire.

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Plaisir d'offrir - 18/8/2011

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Ce spectacle a une histoire qui commence dans les années 60, quand mon père nous lisait, à ma sœur et moi, les «Histoires comme ça». Plus tard, dans les années 80, il y eut le choix d’un de ces textes pour un examen de déclamation au conservatoire. De là est née l’idée de faire un spectacle qui fut créé en 1986.
Pourquoi le recréer aujourd’hui (peut-on parler de reprise après 24 ans) ?
Tout simplement parce que le plaisir est toujours là et qu’il ne faut pas bouder son plaisir. Plaisir pour moi : j’aime toujours autant l’humour, la tendresse et la fantaisie de ces textes. De plus, s’y superposent des souvenirs d’enfance, de mes études au conservatoire et des années où je débutais comme comédien. Et aussi des souvenirs de mes enfants quand ils étaient… enfants.
Plaisir pour le autres : parce que nous avons tous eu 5 ans et parce que je ne connais pas d’adulte qui n’aime pas qu’on lui raconte des histoires. (Si vous en connaissez un, attrapez-le et amenez-le, nous allons tenter de le soigner !).
J’ai eu envie de mettre un peu de musique dans le spectacle, parce que Kipling a une écriture très musicale. Et j’ai eu envie de faire entendre un peu de la VO du texte en introduisant quelques poèmes qu’il a écrits pour accompagner les histoires.
J’ai aussi eu envie de collaborer avec Marie-Paule Kumps (et ce n’est pas notre première, ni notre dernière collaboration…) qui a ajouté son grain de sel
– et de raisin – à l’ensemble.
Je vous souhaite une très bonne soirée.
Bernard Cogniaux